Elle dit qu’elle aime autant la vie, car elle travaille avec la mort. Rien de lugubre ou de déprimant chez Cléo Duponcheel, 33 ans, croque-mort, qui tente de faire du trépas un sujet moins plombant. Et de rendre le dernier voyage plus singulier, joyeux et écoresponsable, surtout depuis qu’une pandémie…