Un seul suffit
En tant que 1ère année, je devais porter de lourdes charges (perches, bidouilles) seul, sous prétexte que je n’étais pas encore totémisé. Les 1ère années avons aussi dû creuser la feuillée au gobelet. Heureusement que nous étions solidaires l’un envers l’autre, car les animateurs et les ainés étaient soit cruels (peu d’entre eux, mais un seul suffit), soit suivaient ou n’osaient rien dire. Malgré cette mauvaise expérience, j’ai continué, je suis très attaché à mon unité et je suis fier d’affirmer que les mentalités ont changé depuis et que le tabou de la totémisation a été vraiment remis en question par la dernière équipe d’unité.
Beira