L’homme qui planque un million
Chasses au trésor
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Le Liégeois Vincenzo Bianca cache des trésors et crée des énigmes pour que d’autres puissent les déterrer. Son univers semble gentillet au possible, mais n’est pas destiné aux enfants. On parle de lots valant plus d’un million d’euros, cachés partout sur terre. Et même à La Calamine.
Mike et Sophie profitent des derniers beaux jours de l’été pour promener leur bouledogue le long de l’étang du Casino, à La Calamine, en Communauté germanophone. Ils ne le savent pas, mais ils viennent de passer à un mètre d’un trésor. La récompense d’une chasse lancée trois mois plus tôt, avec 12 500 euros d’or à la clé. Autour du couple, quelques familles du coin tâtonnent les fourrés. Quarante-huit heures plus tôt, des dizaines d’acharnés, parfois venus de très loin, fouillaient fiévreusement les mêmes lieux. Ils et elles retenteront leur chance le week-end suivant, saccageant un monument au passage. L’une d’entre eux est toujours là : pas question de faire une pause. « Ne me parlez pas ! Ne me suivez pas non plus ! Je n’ai pas de temps pour vous ! » Shirley, 47 ans, est à cran. On l’apprendra plus tard : ses proches et elle traquent le trésor de La Calamine depuis plusieurs dizaines d’heures. Les chasses au trésor sont presque comme une addiction, avoue-t-elle.
Le roi des trésors
Grâce à cet événement, La Calamine a réussi à attirer des « touristes » qui n’avaient jamais entendu parler de la ville jusque-là. Pour concevoir sa chasse, elle a fait appel à une pointure de la discipline : Vincenzo Bianca, 39 ans. Elle n’a pas dû aller le chercher bien loin. Son entreprise, N-Zone, est établie à Angleur (Liège). Sur les cinq dernières années, le Liégeois a caché à travers le monde des trésors d’une valeur cumulée de plus de 1,5 million d’euros. Selon les plateformes spécialisées, aucun autre créateur de chasses au trésor ne fait mieux en francophonie. « Je suis tombé dans les chasses au trésor en regardant un reportage télé sur la “Chouette d’Or” quand j’avais 10 ans », raconte Vincenzo Bianca. Une chasse mythique : son créateur, Max Valentin, est mort avant son épilogue. Cachée quelque part en France en 1993, la chouette a été déterrée le 3 octobre dernier par un joueur dont l’identité reste pour l’heure inconnue.
Le jeune Vincenzo Bianca se prend au jeu et mord aux autres chasses. Dès l’adolescence, il passe de l’autre côté du tableau. « J’ai commencé à créer des mini-chasses pour enfants lorsque j’étais animateur de camps de vacances. » Jeune adulte, il obtient un bachelier en psychologie suivi d’un master en sciences de l’éducation. Il souhaite entamer un doctorat sur la gamification de l’apprentissage. Le projet échoue, mais il persévère dans le ludisme en créant des visites touristiques gamifiées et des escape games. Il finit par candidater pour organiser sa première « vraie » chasse au trésor, en 2011, pour le compte d’une société qui organise du team building à Stavelot. De fil en aiguille, son carnet de commandes s’élargit et il monte sa propre société. N-Zone emploie aujourd’hui une grosse vingtaine de travailleurs à temps plein.
« Les chasses au trésor, c’est une madeleine de Proust, évoque Vincenzo Bianca. Faire rejaillir chez des adultes l’excitation qu’ils avaient lorsqu’ils étaient enfants et qu’ils cherchaient des pièces en chocolat dans le jardin. Je pense que la vie mérite d’être vécue en enchaînant du mémorable. Quand on part avec sa pioche, que l’on trouve le trésor ou non, ça procure des sensations dont on se souvient toute sa vie. »
Lors du processus de création de la chasse, Vincenzo Bianca préfère le volet « architecture ». Mais encore ? Il se lève, prend son marqueur et illustre au tableau ce qui se trame dans son esprit lorsqu’il imagine une chasse. Chiffres, lettres, signes, schémas : pour un néophyte, ça ne veut pas dire grand-chose. « D’une part, je crée des énigmes, que l’on appelle “cryptos”. Il faut les décoder individuellement. D’autre part, j’articule ces énigmes entre elles et les joueurs doivent trouver comment les agencer pour aboutir à la solution. C’est là qu’on peut exprimer toute notre créativité et surprendre les chasseurs. »
Addict, moi ?
Parmi les chasseurs avertis, beaucoup sont des enfants de la « Chouette d’Or » : des Français nés dans les années 80. Selon Michel Becker, qui a repris le flambeau à la mort de Régis Hauser, 200 000 personnes se sont lancées à sa recherche ces 30 dernières années. Mais c’est une chasse exceptionnelle. Vincenzo Bianca dénombre lui 5 000 connexions hebdomadaires à travers le monde – dont 1 000 en Belgique – autour de « Guardians of Legends », sa chasse phare. Matthieu Valente, qui gère une plateforme répertoriant les chasses partout dans le monde, estime à 2 000 le nombre de joueurs francophones qui s’y adonnent régulièrement. Nuit et jour, ces chasseurs échangent sur Discord. Ils se voient très rarement et ne connaissent parfois même pas le prénom de leurs partenaires. Pourtant, ils chassent en meute, d’une demi-douzaine à plusieurs dizaines de joueurs. Ils résolvent les énigmes de leur côté puis en discutent avec leurs coéquipiers pour réussir à combiner les indices. Celui qui habite le plus près de la zone ciblée part sur place. S’il trouve le trésor, la victoire est collective. Et le gain, s’il est suffisamment intéressant, est réparti au sein de l’équipe.
Shirley préfère les petites équipes. « C’est plus facile pour communiquer et cet aspect coopératif me plaît énormément. » Depuis Sprimont, au sud de Liège, où elle habite, elle est pourtant esseulée, loin de ses amis français virtuels. « Tout a commencé en 2018, lorsque des amis m’ont offert “L’impossible affaire des Diamants volés”. J’ai tout de suite accroché, mon mari pas. J’ai cherché sur internet s’il existait d’autres chasses… et j’ai ouvert la boîte de Pandore. » Au plus fort de sa vie de chasseuse de trésors, Shirley y consacrait quatre à six heures par jour. « C’était devenu une catastrophe. Certains y passent encore plus de temps. Ils me disent qu’ils ont un job et une famille, mais j’ai du mal à les croire. » Elle, elle travaille. Comme coordinatrice qualité dans un laboratoire hospitalier. Et elle a deux filles… qui se désintéressent de sa passion tout autant que son époux. « À un moment donné, elles m’ont dit qu’elles en avaient marre que je passe mon temps à faire ça. C’était comme une addiction. J’en ai pris conscience et j’ai réduit mon temps de jeu. » Elle n’a pas débranché la prise pour autant. « Une nouvelle chasse vient d’ouvrir et elle m’intéresse, j’y consacre une à deux heures par jour. Mais parfois, je peux rester une semaine sans tenter d’en résoudre une, hein ! »
Shirley dit avoir remporté près de la moitié de la cinquantaine de chasses auxquelles elle a participé. De quoi amasser un joli pactole ? Loin de là. Ses gains sont ridiculement petits. Car la grande majorité des trésors sont symboliques : un jeu de société, 50 euros, un bon cadeau… On l’aura compris, c’est surtout sur ce plan que Vincenzo Bianca se démarque : enchaîner les chasses avec de véritables trésors à la clé est rarissime. Et c’est le fruit d’un processus extrêmement long.
36 euros la boîte
Son bébé, c’est « Guardians of Legends » (GoL). Une chasse que l’on peut entamer en achetant un jeu de société du même nom. En jeu : un œuf d’or dissimulé quelque part dans le monde. Façonné par deux bijoutiers liégeois, il a été dessiné par Vincenzo Bianca himself, qui a pris des cours de bijouterie pour l’occasion. Lors du lancement de la chasse, en 2019, l’œuf valait 210 000 euros. À ce jour, il n’a toujours pas été trouvé. « Je mûrissais le projet depuis mes 16 ans. C’est grâce à son succès que j’ai pu me lancer dans la conception d’autres chasses aussi bien garnies, puisqu’il m’a permis d’acquérir une certaine réputation dans le milieu. »
35 000 exemplaires ont été écoulés en cinq ans à travers le monde – le jeu est traduit en dix langues, dont le chinois. À 36 euros la boîte, le jeu et l’œuf ont été rentabilisés. Mais ça n’explique pas d’où Vincenzo Bianca a tiré son argent pour façonner le trésor. « Une partie a été financée par ma société sur fonds propres, grâce à nos autres projets dans les jeux vidéo et les jeux de société. On a obtenu l’autre partie grâce à un mécène. » Le terme n’est pas le mieux choisi : l’individu a été remboursé grâce à la vente des boîtes. Son nom apparaît d’ailleurs sur celles-ci : Edward Preston. « C’est un pseudonyme. On n’avait aucune idée de l’impact médiatique de la chasse et il craignait d’être embêté au vu de l’importance du lot. On l’a également mentionné comme coauteur, pour diluer les éventuelles pressions que certains joueurs auraient pu exercer vis-à-vis des concepteurs… Après coup, on se dit que c’est un peu idiot, car on n’a jamais eu de problème jusqu’à présent. » Vincenzo Bianca le promet, il révélera l’identité de ce mystérieux financier une fois que l’œuf aura été trouvé. On n’en saura pas davantage… si ce n’est qu’il est liégeois.
Notre concepteur, lui, avance à visage découvert. Il n’est pourtant pas rare que ses pairs conservent leur anonymat. Une protection leur permettant d’éviter de rejoindre la liste des auteurs ayant connu de sérieux soucis. Forest Fenn, par exemple. En 2010, ce marchand d’art américain avait lancé une chasse à plus d’un million de dollars dans les Rocheuses. Plusieurs personnes sont mortes en cherchant le trésor : chute, noyade ou encore hypothermie. D’autres l’ont cambriolé. Pire : Forest Fenn a reçu des menaces de kidnapping sur ses filles de la part d’un chasseur convaincu que le trésor… c’étaient elles.
Faux pas interdit
Malgré le million et demi d’euros qu’il a caché dans la nature, Vincenzo Bianca n’a jamais connu pareille mésaventure. Il estime qu’il doit assumer d’être le concepteur des chasses. « C’est ce qui me permet d’être reconnu comme légitime auprès de la communauté. S’ils ont un problème, ils savent à qui s’adresser. Et comme ils voient que certaines de mes chasses ont été gagnées et qu’on révèle généralement l’identité des vainqueurs, ils savent qu’il n’y a aucune arnaque quand une chasse est à mon nom. »
En plus d’avoir été adoubé par les chasseurs, Vincenzo Bianca a gagné la confiance des entreprises désireuses de créer des chasses bien dotées. Ce qui le leste d’une part des responsabilités. « Je ne dis rien à personne, pas même à mon épouse et à mes enfants. Évidemment, plein de personnes m’ont déjà demandé des indices supplémentaires. Certaines ont même tenté de me corrompre et m’ont proposé de partager les gains si je leur révélais sa localisation d’un trésor. Mais je pars du principe que, tôt ou tard, tout se sait. Si tu n’es pas réglo, ça finira par te retomber dessus. Il suffit qu’une chasse se termine mal pour que je ne puisse plus jamais en organiser. La réputation joue énormément dans ce milieu. »
Mystère autour de l’étang
Malheureuse coïncidence pour lui : à La Calamine, la chasse qui se terminait au moment où Vincenzo Bianca nous expliquait sa vision des choses a justement débouché sur une vague de suspicions. Aïe, aïe… Un premier couac sur un chemin jusque-là doré ?
Retour en terre germanophone. La dernière énigme est dévoilée le vendredi 6 septembre, menant la plupart des chasseurs au fameux étang du Casino. Vincenzo Bianca en est persuadé : le trésor sera trouvé le week-end. Des dizaines de chasseurs s’y pressent. Des locaux, mais aussi de vrais passionnés, qui ont parfois parcouru plusieurs centaines de kilomètres. Une chasseuse a même pris l’avion depuis la Grèce. Ils font tous chou blanc. Ils ont pourtant correctement identifié le carré d’herbe où se trouve le trésor. La semaine qui suit ne leur sourit pas davantage. Associées au projet, les autorités communales précisent alors la nature du trésor, le vendredi 13. Il s’agit d’une pierre factice, qui renferme un papier contenant un mot de passe permettant à l’heureux chasseur de réclamer son dû. Un autre week-end passe : les pourtours de l’étang sont saccagés. Finalement, le lundi 16, un ouvrier du village voisin tombe dessus. « J’ai enfourché mon vélo pour mettre la pierre à l’abri chez moi, car je craignais qu’on me la vole. » Il empoche les lingots d’or d’une valeur de 12 500 euros, entièrement financés par cinq entreprises locales en échange d’une bonne dose de visibilité.
Les passionnés digèrent très mal la fin de la chasse. Mauvais perdants ? Peut-être. Leurs témoignages recueillis par Médor sont toutefois convaincants. Comment des dizaines de chasseurs ont pu passer à côté pendant dix jours alors qu’ils étaient au bon endroit ? Shirley fait partie des frustrés. « Comme c’était tout près de chez nous, mes filles et mon mari ont exceptionnellement cherché sur place avec moi. Il a même passé une nuit dans sa voiture aux abords de l’étang ! En tout, on a cumulé une centaine d’heures de recherches. Vous comprenez pourquoi j’étais énervée quand je vous ai croisé… » Nous avons interrogé d’autres chasseurs aguerris : tous jugent l’épilogue « étrange », bien qu’ils ne disposent d’aucun élément tangible pour prouver une potentielle arnaque. Plusieurs hypothèses sont avancées. Dont celle-ci : « C’était une chasse assez facile. La pierre a sûrement été découverte avant la dernière énigme, mais la Ville a demandé au gagnant de ne pas se dévoiler tout de suite pour qu’on vienne consommer à La Calamine », peste Alexy, un chasseur français qui s’est coltiné deux allers-retours depuis Charleville-Mézières.
Forcément, les regards se tournent vers Vincenzo Bianca. Cette fois, il y a un malaise et celui-ci est palpable. Lui non plus ne comprend pas pourquoi le trésor n’a pas été trouvé plus tôt. Il admet même que l’hypothèse d’Alexy est convaincante. Mais il la réfute. « Je suis allé vérifier moi-même plusieurs fois que la pierre était toujours à son emplacement. Elle avait un peu bougé, mais elle était bien là. » Pour prouver sa bonne foi, il fournit deux vidéos que lui ont envoyées des chasseurs lors de leurs recherches. « C’est fou, mais on voit la pierre. Ils sont littéralement passés à côté. » Et si Vincenzo Bianca s’était lui aussi fait rouler dans la farine, par exemple par les autorités calaminoises ? Il ne l’exclut pas totalement, mais il n’y croit pas. « Si ça s’apprend, plus personne ne voudra jamais collaborer avec eux. » Lui-même hésite à rempiler pour une nouvelle édition, prévue d’ici quelques années.
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À La Calamine, l’échevin du tourisme à l’origine de l’initiative, Mirko Braem (CSP/Les Engagés), refuse aujourd’hui de s’exprimer. Le ciel s’est obscurci pour lui. Quelques jours avant le scrutin communal, il a démissionné pour une « bêtise » sans rapport. Désormais domicilié dans la commune voisine de Plombières, il lui a été interdit de se présenter aux élections. L’ex-échevin renvoie la patate chaude vers l’Office du tourisme, chargé du dossier. « Certes, la chasse a fait du bien à nos commerçants. Mais nous n’avons rien bidouillé du tout. On aurait même apprécié que ça se termine plus vite, car il commençait à y avoir de vraies dégradations près de l’étang », répond Sylvie Fabeck, sa responsable, sereine. Nous lui signalons quand même que la Ville a empêché les internautes de commenter les dernières publications Facebook relatives à la chasse. « Le jeu était terminé, ça ne servait plus à rien de râler… Évidemment, quelques personnes l’ont eu mauvaise. Mais c’est le jeu ! » Si elle le dit…
Magouille ou pas, voilà la sacro-sainte réputation de Vincenzo Bianca entachée. « Ceux qui râlent, c’est une minorité bruyante. Certains sont malicieux : ils tentent d’en décourager d’autres de participer à mes prochaines chasses pour qu’il y ait moins de concurrence », se rassure-t-il. Il finit par renvoyer vers un autre chasseur censé livrer une vue d’ensemble : il modérait le serveur Discord consacré à La Calamine. Chez lui, le son de cloche est pourtant identique : la fin de cette chasse a été mal vécue par la communauté. « Forcément, dit-il, la réputation de Vincenzo Bianca risque d’en pâtir, bien qu’il soit difficile de savoir combien de joueurs vont réellement boycotter ses chasses et combien vont s’y remettre une fois la déception digérée. »
Et maintenant Tintin
Pour l’heure, Vincenzo Bianca s’en tire plutôt bien. Le final « étrange » à La Calamine semble avoir été occulté par l’épilogue très médiatisé de la « Chouette d’Or ». Les joueurs enragent face aux mystères qui continuent de planer sur cette chasse qui aura duré 31 ans : Michel Becker a notamment refusé de dévoiler l’emplacement du trésor… parce qu’il en a accordé l’exclusivité à une société de production audiovisuelle. Vincenzo Bianca en a profité pour organiser un débriefing en ligne avec les chasseurs… et relancer l’intérêt autour de « Guardians of Legends », sa chasse vedette a priori inaccessible aux non-initiés. L’opération « gestion des dommages collatéraux » a l’air d’avoir fonctionné. Il y a du business à protéger. Car le concepteur liégeois a une grosse marmite sur le feu : une chasse mondiale en collaboration avec la société anonyme Tintinimaginatio (mieux connue jusqu’à il y a peu sous le nom de Moulinsart) pour le centenaire du héros de Hergé. Début 2024, N-Zone a levé 1,2 million d’euros pour pouvoir développer ses propres projets. Il valait mieux éviter de se mettre clients et chasseurs à dos.
Autre chasse, autre ambiance : Médor a glissé des indices à la p.64 de son 37e numéro, arriverez-vous à les déchiffrer pour débusquer nos trésors planqués partout en Belgique ?
![medorajouer_37](/media/images/medorajouer_37majOKV1eddy.2e16d0ba.fill-800x800.jpg)
Médor fête son 37e numéro en organisant des rencontres, ateliers, débats, apéros à Barricade (Liège) du 4 au 18 décembre. Découvrez le programme sur medor.coop/sorties et rejoignez-nous, les événements sont gratuits !
![sorties génériques](/media/images/Capture_decran_2024-11-05_a_13.23..2e16d0ba.fill-800x800.png)
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Un pseudonyme.
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Cela consiste à intégrer des mécanismes ludiques (comme les récompenses, les défis ou les classements) dans des contextes éducatifs afin de rendre le processus d’apprentissage plus engageant et interactif.
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Une plateforme de communication en ligne sur laquelle on utilise des pseudos.
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Un livre des Éditions du Trésor menant vers dix diamants d’une valeur de 1 500 euros chacun.
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Le trésor de Stan Bill James, avec un coffre renfermant 200 euros caché quelque part en France.
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