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On n’en a pas fini

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Nicolas Belawez. CC BY-NC-SA

Neo, le plateau trépas

Médor n°5 – Hiver 2016

Dans son numéro 5, Médor vous expliquait le projet immobilier NEO, supposé s’installer sur le plateau du Heysel à Bruxelles. Et il concluait ceci : « Alors que NEO1 reste empêtré dans ce micmac juridique, Henri Dineur et la Ville de Bruxelles travaillent d’arrache-pied à lancer NEO2. Rappelez-vous : le centre de convention, auquel on adjoindra un hôtel de standing, était l’objectif initial de toute cette histoire […] Quoi qu’on en pense, le dossier est voué à défrayer la chronique pendant de longues années encore. »

En octobre 2020, la Ville de Bruxelles a abandonné NEO2. Et entend accélérer l’obtention du permis de bâtir de NEO1, espéré pour la fin 2020, sous peine de retrait du consortium partenaire.

Sur les bancs de l’opposition de la Ville, l’échec du projet NEO2 s’explique principalement par un manque de crédibilité et un plan d’affaires boiteux (L’Écho – 16 octobre 2020). Quand on vous disait qu’on allait en parler « pendant de longues années encore ».

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Orfée Grandhomme. CC BY-NC-ND

L’enfance envolée

Médor n°11 – Été 2018

Dans l’enquête « Enfant proie », Médor racontait le calvaire d’enfants congolais, retirés à leur famille par l’organisation « Tumaini » pour être adoptés en Belgique. Les familles en Belgique avaient alerté à maintes reprises le service de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sans réaction notable de sa part. Ce 11 décembre 2020, près de huit ans après les premiers faits, la chambre du conseil de Dinant va enfin statuer sur l’affaire, avec un renvoi en tribunal correctionnel ou un non-lieu pour les personnes inculpées, dont des fonctionnaires de la Communauté française et les responsables de l’asbl Tumaini.

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Jules Rousselet. CC BY-NC-ND

La drogue qui décape

Médor n°19 – Été 2020

Le « Rapport européen sur les drogues 2020 » de l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies est sorti en septembre 2020. Dans ce document, 27 hôpitaux sentinelles dans 19 pays européens listent les drogues les plus couramment signalées lors de passages aux urgences. Derrière l’inaccessible trio cannabis/cocaïne/héroïne, le fameux GHB/GBL. Dans son numéro d’été, Médor racontait comment ce solvant-décapant avait rejoint le monde de la nuit. À la grande joie et au péril des fêtards de l’extrême.

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