La "troisième voix possible"

C’est tant dans mon parcours personnel en tant que femme Belge d’origine libanaise - ayant passé son adolescence dans des quartiers sociaux à Bruxelles – que dans mon parcours professionnel au sein d’un milieu associatif féministe interculturel que je puise mon engagement ainsi que mon intérêt pour cette Bourse Inclusion.

Diplômée en journalisme et habituée à rédiger, j’aime écrire et pense pouvoir apporter un autre regard de par ma posture de femme – et mère – féministe. Mes parcours de vie à l’étranger et mon métissage culturel entre une famille musulmane et une autre catholique - où triomphe « une laïcité de compromis » - m’ont permis aussi de renforcer mon ouverture d’esprit et mon implication pour plus de dialogue et de connaissances mutuelles, au-delà de l’hypocrisie, de la désinformation et des clichés. J’aimerais apporter sur certaines questions de société un regard qui unit la lutte féministe et antiraciste mais qui est aussi capable de dénoncer sans tabous les difficultés liées à certaines pratiques culturelles et traditionnelles ; une voix qui croit aux valeurs universelles qui nous unissent malgré nos différences : la « troisième voix possible »

Bourse inclusion : Ils·elles ont déjà postulé. Et vous ?

Notre société est diverse et plurielle, et il devrait en être de même pour nos médias. Parce qu’ils et elles n’ont pas décidé d’attendre que les choses changent pour agir, découvrez les profils des personnes qui ont postulé à nos bourses Inclusion en 2020 et 2021.

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