Dans la communauté gay, certains s’envoient en l’air très haut, très longtemps, sous l’emprise d’une panoplie étendue de psychotropes. Le chemsex a essaimé avec le succès des applications de rencontre géolocalisées, comme Grindr. Pratique communautaire assumée autant qu’enjeu de santé publique, il défie les codes des usages de drogues.