Occuper son enfant pendant les congés, favoriser son développement et son bien-être, développer ses aptitudes ? Mais oui, bien sûr !

La pression est forte sur les familles pour qu’elles assurent la réussite et l’épanouissement de leurs enfants. Les parents n’ont jamais mis autant d’énergie, de temps et d’argent dans les activités qui complètent le cursus scolaire. Mais cette hyper-responsabilisation parentale a des conséquences : elle renforce les inégalités entre les enfants, déjà énormes en Belgique. Se pourrait-il que les activités extrascolaires ne soient pas un choix individuel mais politique ? Les inégalités se joueraient-elles après 16h ?

Une enquête en trois étapes

1. Nous menons l’enquête avec vous au départ d’un questionnaire. Pour avancer, nous avons besoin de données (le coût, les trajets, le stress engendré par les activités) mais aussi de témoignages sur votre gestion familiale de l’après-16 heures.
2. Nous vous tenons informé·es avec des publications régulières, de mars à décembre 2024. Une fois par mois, dans votre boîte aux lettres, nous vous partagerons l’intitulé du stage le plus fou, quelques lectures et réflexions sérieuses, un top 10 des activités pour se la raconter ou des témoignages de familles qui sillonnent entre la harpe, le skate et les louveteaux. Abonnez-vous à notre newsletter ici.
3. Les résultats de cette enquête seront à lire dans le numéro de Médor de décembre 2024. Nous aurons compilé et confronté les résultats du questionnaire, rencontré familles et experts pour tirer des conclusions et formuler quelques idées pour aller plus loin.

Une enquête participative

Notre objectif avec cette enquête ? Ni de vous inciter à désinscrire vos enfants de leur stage « cabanes dans les arbres, arts-plastiques et émotions ». Mais de comprendre ce qui se joue dans cette course « flûte/poney ». En fait-on trop ? Pas assez ? Qu’est-ce qui marche bien ? Comment peut-on faire autrement ?

Merci de nous aider et de nous suivre dans cette aventure !