La "troisième voix possible"

C’est tant dans mon parcours personnel en tant que femme Belge d’origine libanaise - ayant passé son adolescence dans des quartiers sociaux à Bruxelles – que dans mon parcours professionnel au sein d’un milieu associatif féministe interculturel que je puise mon engagement ainsi que mon intérêt pour cette Bourse Inclusion.

Diplômée en journalisme et habituée à rédiger, j’aime écrire et pense pouvoir apporter un autre regard de par ma posture de femme – et mère – féministe. Mes parcours de vie à l’étranger et mon métissage culturel entre une famille musulmane et une autre catholique - où triomphe « une laïcité de compromis » - m’ont permis aussi de renforcer mon ouverture d’esprit et mon implication pour plus de dialogue et de connaissances mutuelles, au-delà de l’hypocrisie, de la désinformation et des clichés. J’aimerais apporter sur certaines questions de société un regard qui unit la lutte féministe et antiraciste mais qui est aussi capable de dénoncer sans tabous les difficultés liées à certaines pratiques culturelles et traditionnelles ; une voix qui croit aux valeurs universelles qui nous unissent malgré nos différences : la « troisième voix possible »

Elles et ils ont déjà postulé. Et vous ?

Ci-dessous, quelques profils de candidates et candidats à nos deux bourses inclusion. Rejoignez-les avant le 30 janvier si vous avez un projet d’enquête sur la Belgique à nous soumettre et que vous ne vous reconnaissez pas dans le profil type du journaliste belge : homme, blanc, universitaire. Pour vous porter candidat·e c’est par là, ne tardez pas !

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