J’ai un nom et une gueule d’arabe

"La bourse inclusion, je la vois comme une opportunité. Et ce qu’il y a de bien avec les opportunités, c’est que ça permet de s’introduire dans des endroits où à priori, il n’était pas prévu que vous entriez. Oui mais pourquoi la bourse inclusion ? Parce que l’annonce m’est passée devant les yeux et que je m’y suis vu. J’ai un nom et une gueule d’arabe, je ne sais pas si ça suffit. Mehdi Khelfat aussi et je ne sais pas s’il apporterait grand chose à Médor au vu de vos objectifs avec cette bourse. Je trouve qu’il est temps que toutes les histoires soient racontées/investiguées."

Elles et ils ont déjà postulé. Et vous ?

Ci-dessous, quelques profils de candidates et candidats à nos deux bourses inclusion. Rejoignez-les avant le 30 janvier si vous avez un projet d’enquête sur la Belgique à nous soumettre et que vous ne vous reconnaissez pas dans le profil type du journaliste belge : homme, blanc, universitaire. Pour vous porter candidat·e c’est par là, ne tardez pas !

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