Le paradoxe malinois

Depuis 15 ans, la ville de Malines expérimente une nouvelle approche de la citoyenneté et de l’intégration. « De wortel et le bâton » pourrait résumer la vision du bourgmestre Bart Somers pour sa ville. La photographe italienne Serena Vittorini a arpenté les lieux où se traduit cette politique d’un nouveau genre.
Le bourgmestre de Malines, Bart Somers, libéral.
Vue des maisons près de la gare de Nekkerspoel, sur Lakenmakersstraat, quartier multiculturel.
Dans la cour du ROJM, centre régional de jeunesse ouvert à toute la diversité malinoise.
Tivoli Park. À la périphérie de la ville, Bart Somers a installé des réverbères et des caméras, ainsi que fait nettoyer des jardins publics à présent gardés.
Police de Malines.
Caméra pour surveiller les activités à l’intérieur de la cathédrale Saint-Rombaut. La ville utilise un système ANPR depuis septembre 2011 pour examiner toutes les voitures qui traversent les limites de la ville. Les voitures figurant sur des « listes noires » (pas d’assurance, volées, etc.) déclenchent une alarme dans la salle des dispatchings. Afin de compléter le système de vidéosurveillance de la ville, la police a installé des caméras HD dans les zones commerçantes extérieures du centre-ville, ainsi que dans le parking et aux abords du Musée juif de la déportation et de la résistance.
Arwen pendant son entraînement au Royal Gym, gymnase social où toute la diversité multiculturelle de Malines se rencontre. La ville a investi dans le sport, utilisé pour prévenir la radicalisation.
Le terrain de football de ROJM, centre régional de jeunesse. Tout le monde est libre de l’utiliser pendant les heures d’ouverture, sans rendez-vous.
Projet de théâtre multiculturel du musicien et compositeur Tom Kestens.
Quartier multiculturel, près du centre ROJM.
« Une petite ville pittoresque riche en charme et en histoire. » Malines, vue par Visit Flanders, n’est plus cette cité …