3min

L’alcool et nous

Ça commence à mousser

alcool-enquete-ouverte-biere
Lucie Castel. CC BY-NC-SA.

Après deux semaines, plus de 1 600 personnes avaient déjà participé à notre enquête ouverte sur l’alcool. Comment ? En répondant à notre questionnaire, en se baladant sur notre site, en témoignant ou en nous filant de bons tuyaux. Voici une sélection non exhaustive des premiers résultats, en mode apéro-light. Vous n’avez pas encore participé ? Venez, c’est « open bar » jusqu’au 30 juin.

Rappel pour ceux qui étaient au bar

De la mi-avril et jusqu’au 30 juin, Médor enquête sur la place de l’alcool dans notre quotidien et essaie de décoder le lien si particulier des Belges à la picole. Comment ? En lançant une enquête ouverte, dans laquelle les lecteurs sont invités à témoigner, répondre à un questionnaire aussi sérieux que Michel Daerden et nous envoyer des infos. Nous avons choisi d’explorer trois piliers : le rapport intime de chacun à l’alcool, la place de l’alcool au travail et le poids économique de la bière en Belgique. Le résultat de cette enquête sera publié dans nos numéros de septembre et de décembre. Mais vous en trouverez déjà, en tournant la page, un petit apéro : l’interview de deux hommes politiques, l’un qui est abstinent jusqu’à la dernière goutte et l’autre qui a été biberonné à l’alcool.

Tranches de vies

Petite brochette des premiers témoignages qui nous sont parvenus.

« Dans mon bled, en Ardenne, tu peux picoler autant que tu veux, c’est super bien vu. Surtout ne va pas allumer un pétard ou sniffer un rail, tu es drogué et on te regarde avec mépris, ton avenir est compromis. Mais sois bourré un maximum, tu seras “un bon vivant”. »

« Mon père est un fêtard invétéré (les chiens ne font pas des chats), il est pompier. Il en a vu, des accidents de la route, des morts violentes au volant à cause de l’alcool. Mais lui, il peut conduire bourré : …

Lire, en toute liberté

Cet article semble vous intéresser. Vous pouvez lire la suite à votre aise : c’est un cadeau. Nos contenus doivent être accessibles au plus grand nombre. La période d’essai d’un mois, gratuite et sans engagement, est également faite pour cela. Cependant, nous avons besoin d’être financés pour continuer notre projet. Si vous trouvez notre travail important, n’hésitez pas : abonnez-vous à Médor.

Un journalisme exigeant peut améliorer notre société. Voulez‑vous rejoindre notre projet ?

La communauté Médor, c’est déjà 3400 abonnés et 1859 coopérateurs

Médor ne vous traque pas à travers ses cookies. Il n’en utilise que 3 maximum pour la sécurité et la navigation.
En savoir plus