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Derrière les couvertures de Médor

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Notre solide bibli

Médor fête un quasi-anniversaire : notre média existe depuis trente numéros. L’occasion de revenir sur nos couvertures, leurs intentions, leurs évolutions et de partager quelques secrets de fabrication.

Trente couvertures, trente gueules. Ce qui est certain (car vous nous le faites savoir), c’est qu’elles vous interpellent. Ça tombe bien, c’est ce qu’on cherche. Depuis trente numéros, notre équipe prend des risques, et il paraît que notre magazine ne ressemble à aucun autre.

Les couvertures, comme le reste chez Médor, c’est une histoire collective et des responsabilités tournantes tous les trois mois. À chaque numéro, ça démarre comme ça : les pilotes journalistes présentent le sommaire aux pilotes « iconos » et leur confient le soin de la traduction visuelle. Y a -t-il un sujet qui ressort ? Un concept qu’on veut tester ?

On tranche et les iconos passent commande à des artistes. De là, s’ensuivent des allers-retours : « couv_V2.pdf » suite à une modification de l’illustration, « couv_V5_def » pour différents essais de couleurs et « couv_V8_defdefFINAL » parce que les titres ont été légèrement déplacés.

C’est une expérience riche, mouvementée, cocasse et parfois explosive. Entre les différents corps de métiers qui font Médor, on ne se comprend pas toujours mais on se fait confiance (par exemple, les graphistes parlent de pythons qu’ils scratchent en CMS-FG à merger dans le RGB et les journalistes ne les contredisent jamais).

À chaque confection de la couverture, c’est une nouvelle expérimentation. Seul élément qui n’a jamais été délogé : notre logo. Mais d’où vient-il, d’ailleurs ? La police est une refonte de celle d’anciennes publicités Côte d’Or (parce que la marque belge rime avec Médor, voilà tout). …

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