Médor n’est pas un chien. C’est :

• Un magazine de 128 pages, d’enquêtes et de récits, centré sur la Belgique ;
  
• Un laboratoire de pratiques et d’expérimentations collectives ;
  
• Une coopérative de plus de 1800 citoyens et citoyennes.
  

Soutenir ce projet, c’est se donner de la liberté, du plaisir, de l’espoir et des moyens d’action face à un monde en crises. Faites-le tout de suite.

Créé en 2015, Médor est un magazine belge d’enquêtes et de récits indépendant.

L’urgence de l’investigation. Médor défend un journalisme d’intérêt public. Sociétés privés, publiques, enjeux politiques, culturels, économiques, environnementaux : nous enquêtons sur tout type de sujets liés à la Belgique. Nos journalistes prennent le temps d’aller au bout de leurs recherches. Ce journalisme en profondeur a eu un impact sur notre société, nous a valu de nombreux prix et quelques ennemis.

Du papier et du web. Le magazine Médor est un trimestriel imprimé. Il est élaboré avec des logiciels libres, dans une approche artisanale. Chaque image, chaque texte est pensé pour Médor. Tout ce qui est imprimé se retrouve également sur notre site. Mais l’inverse n’est pas vrai. Certains contenus ont été pensés pour le web et ont été conçus par des artisans du web (par exemple, l’enquête « Bruxelles malade »).

Qui nous finance ? Plus de 80 % de nos recettes provient du lectorat (abonnements et ventes en librairies), 16 % de l’aide à la presse périodique (sans aucune influence sur le contenu éditorial) et 2 % de publicités éthiques placées de notre magazine.
Médor est indépendant et le restera.

Notre patron, c’est vous. Médor n’a pas d’actionnaire principal, de généreux mécène, ou société partenaire qui confond pub et soutien. Médor est organisé en coopérative, souveraine pour décider du sort du magazine. Elle est composée de plus de 1800 personnes qui ont pris une part (20 euros), voire plusieurs, dans le projet.

Un laboratoire de pratiques innovantes. Depuis 2015, Médor repense la manière de fabriquer de l’information. La rédaction est organisée en responsabilités tournantes (pas de rédac’ chef chez nous), notre graphisme est entièrement réalisé avec des logiciels libres, l’essentiel de nos textes et illustrations sont en sous licence creative commons ce qui signifie qu’ils peuvent être copiés et diffusés. Médor a repensé son journalisme en lançant un baromètre et une bourse inclusion, un MédorTour, des enquêtes participatives, des couvertures trouées ou peintes sur vitre ! Et même en payant mieux ses pigistes…

La possibilité de devenir membre. Médor n’existe pas sans son lectorat. Pour renforcer un outil essentiel de votre démocratie, pour nous lire, devenez membre à partir de 4,50 euros par mois.