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L’alcool et vous !

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Lucie Castel. CC BY-NC-ND.

Médor a mené sa première « enquête ouverte » ! Du 15 avril au 30 juin 2018, vous êtes venus témoigner, échanger, gratter, faire remonter de l’info et nous avez aidés à construire une nouvelle forme d’investigation. Le sujet était simple et nous concernait tous (si, si, même toi là-bas qui a cessé de picoler) : l’alcool banal. Non pas le binge-drinking ou les AA, mais notre alcool de tous les jours. L’alcool et le couple, l’alcool au travail – que vous soyez flic ou médecin –, l’argent de l’alcool, nos politiques et l’alcool, les pots au boulot : autant de thèmes que nous avons abordés. Avec votre aide.

Pourquoi l’alcool ?

Parce qu’il est partout. À la buvette du Parlement, à la cafét’ de votre bureau, aux réunions de famille ou dans les stades de foot. Même quand elle n’est pas pathologique, notre consommation (ou celle de notre conjoint ou de nos enfants) nous interroge : boit-on trop ? Sommes-nous condamnés à boire ? Peut-on réussir sa vie, en Belgique, sans jamais boire un coup ? Bref, une chose est sûre, que vous soyez patron d’AB-Inbev, conseiller communal abstinent, flic sous pression ou prêtre en burn-out, vous aviez tous quelque chose à nous dire.

Comment participer ?

Entre le 15 avril et le 30 juin, vous furent plus de 2000 à vous donner rendez-vous sur le site medor.coop/alcool. Là, vous avez découvert les premiers thèmes développés et y avez réagi en témoignant, en nous alertant ou en nous envoyant des données. Ou, simplement, pour les plus feignas­ses (ou bourrés) d’entre vous, en passant notre alcootest maison ou en suivant de votre canapé l’évolution de ce travail collectif. Les résultats de l’enquête se trouvent dans nos numéros 11, 12 et 13.

Que cherchions-nous comme infos ?

Nous avons défini trois axes d’investigation, qui ont évolué en fonction de vos infos :

  • L’alcool au travail. Avec trois secteurs sous notre loupe : la police, les hôpitaux, la politique.
  • L’alcool intime. Avez-vous déjà couché le premier soir sans avoir bu un coup ? L’alcool désinhibe, mais jusqu’où ? Et votre conso perso, vous la situez où ? Dans votre famille, …

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