Jusqu’au XXe siècle, l’Église a régné sur nos cimetières, reléguant les laïques et autres « pécheurs » dans des parcelles distinctes. Aujourd’hui, ce patrimoine funéraire laïque est souvent laissé à l’abandon et finit par disparaître. Mais ce n’est pas une fatalité. Le magazine flamand Knack a enquêté sur les « coins des chiens »…