En 2015, la Fédération Wallonie-Bruxelles lançait « Bouger les lignes », une grand-messe de la culture censée remettre « l’artiste au centre ». Les compagnies de théâtre se mirent à rêver d’un refinancement. Avant de voir l’un des leurs, Fabrice Murgia, accéder à la tête du Théâtre national. Quatre ans…