Tiffany Lasserre (cofondatrice en charge de la communication) et Louis Van Ginneken (journaliste en charge des actions de participation) seront sur place pour répondre à vos questions et vous donner un aperçu des coulisses du projet.

Dans le cadre du cycle "Et ta mère ?" Barricade organise l’écoute collective du podcast "Comment la parentalité intensive nous bouffe la vie" (une création de Delphine Saltel, Arte Radio). Cette écoute sera suivie par la présentation, par Louis Van Ginneken, des conclusions de l’enquête participative "Flûte j’ai poney !" (une investigation de Céline Gautier et Chloé Andries, accompagnées par Louis pour la participation), en exclusivité, la veille de la publication officielle du Médor 37 !

• Le podcast :
  "Vous connaissez les soirées 4D après le travail : devoirs, douche, dîner, dodo ? Rien de tel pour se faire un petit burn-out, et se demander ce qui nous a pris de faire des enfants. Pourquoi personne ne nous prévient du niveau d’épuisement que l’on va atteindre en se reproduisant ? On est censés s’épanouir dans son rôle de mère ou de père, le jouer à fond, mais on ne questionne pas vraiment la pression que cela nous met.
  Pour ce premier épisode consacré à la parentalité, je suis allée voir une psychologue clinicienne spécialiste du burn-out, des mères et des pères plus ou moins surmenés. J’ai discuté avec mes filles, enregistré nos disputes, glané deux ou trois concepts éclairants chez des sociologues. Je n’ai pas trouvé la formule pour shampouiner de la lotion anti-poux dans la joie mais j’ai mieux compris les modes de parentalités auxquels je m’accroche : d’où ils viennent, quels groupes sociaux les diffusent. Pourquoi ils ne nous font pas tant de bien que ça. Une manière de débusquer l’hypocrisie du modèle que l’on s’impose collectivement, et de déblayer quelques pistes pour re-politiser nos vies de parents." (Delphine Saltel)
  
• L’enquête :
  Depuis le mois de mars, Médor mène une enquête participative intitulée "Flûte, j’ai poney". Celle-ci part du constat inquiétant que, malgré ses efforts, l’école reste l’une des plus inégalitaires d’Europe. En parallèle, l’offre d’activités après l’école n’a jamais été aussi grande, ni aussi recherchée. Mais tout se passe comme s’il ne s’agissait pas d’une question de société.
  Les activités extrascolaires de nos enfants ruinent-elles nos vies ? "Oui", nous ont répondu de nombreux parents. Mais elles ruinent surtout celle de ceux qui n’y ont pas accès. Sous cette législature, les liens entre l’école et les activités extrascolaires sont au menu de deux grandes réformes politiques : il est donc temps d’ouvrir le débat public sur ce que nous voulons pour les enfants. Les conclusions de cette enquête seront publiée dans Médor n°37. Le reste est à (re)lire sur medor.coop/poney

Tiffany (cofondatrice en charge de la communication et de la diffusion) et Louis (journaliste indépendant assumant aussi les actions de participation) seront sur place pour répondre à vos questions et vous donner un aperçu des coulisses du projet.

Entre discours politiques, pression sur les soignants et vécu des patients, comment traiter les sujets santé dans la presse ?

Notre pays compte un demi-million de travailleurs et travailleuses en incapacité de longue durée. La réponse politique : renvoyer au plus vite les malades au boulot. Quitte à mettre la pression sur les mutuelles, les médecins-conseils et les généralistes, déjà débordés. Médor prend le pouls d’une société-domino au bout du rouleau.

Jehanne Bergé collaboratrice régulière de Médor, viendra présenter son enquête, parue en juin dernier, dans le numéro 35.

En plus des constats soulevés dans l’enquête, elle développera, sur base des questions de la salle, ses méthodes journalistiques, son choix d’angle, son regard de journaliste indépendante sur les médias qu’elle consulte et avec lesquels elle travaille.

Rencontre co-construite avec l’InterGroupe Liégeois des Maisons Médicales (IGL)

Tiffany (cofondatrice en charge de la communication et de la diffusion) et Louis (journaliste indépendant assumant aussi les actions de participation) seront sur place pour répondre à vos questions et vous donner un aperçu des coulisses du projet.

Sanctionner les chômeurs, voilà qui résoudra tous les problèmes de notre pays. Ou alors ? Faire confiance en leur capacité à se créer un travail qui répond aux besoins sociaux et environnementaux de leur quartier. C’est ce qu’expérimentent depuis 2022 les « Territoires zéro chômeur de longue durée » en Wallonie. Médor s’est rendu à Marchienne-au-Pont et Droixhe.

En complément de ce reportage publié dans Médor n°37, Louis Van Ginneken interviewera Cédric Leterme (Gresea) en public, pour aborder ensemble l’hostilité envers les chômeurs qui a marqué cette année électorale et les façons dont peut être réinventée l’insertion socio-professionnelle, à Liège comme ailleurs.

Tiffany (cofondatrice en charge de la communication et de la diffusion), Louis (journaliste indépendant assumant aussi les actions de participation) et… (graphiste) seront sur place pour répondre à vos questions et vous donner un aperçu des coulisses du projet.

Venez avec vos enfants, petits ou grands, pour partager une collation et écrire des annonces ! Dans la rubrique "petites annonces" de Médor, annoncez à peu près tout ce que vous cherchez, offrez, et pour lequel vous pensez que la communauté de lecteurices pourrait apporter une réponse. Cet atelier d’expression libre est accessible à toute personne en âge de tenir un crayon.

Les annonces issues de cet atelier pourront être publiées dans le Médor de mars 2025.

Des jeux et des histoires seront proposées aux enfants qui ne pourraient ou ne souhaiteraient pas prendre part à l’atelier. Si vous n’avez pas d’enfant, bienvenue aussi !

Afin d’assurer un accueil confortable et un bon déroulement des activités, les inscriptions sont obligatoires pour cet atelier par mail à l’adresse lesyeuxouverts@medor.coop. Si vous venez avec votre ou vos enfants, merci de le mentionner dans le mail en précisant l’âge.

Le magazine Médor est mis en page avec les langages du web plutôt qu’avec des logiciels de mise en page classiques. C’est un choix qui découle d’une volonté de s’éloigner des outils et technologies propriétaires, mais aussi de mettre en place des manières de travailler plus ajustées à la pratique collective du magazine. Le contenu est édité à plusieurs mains via un système de gestion de contenus en ligne ne demandant pas d’expertise en codage (CMS) et s’installe dans la mise en page de manière synchronisée avec une possibilité d’agir sur la structure des textes (HTML) et la mise en forme graphique de l’ensemble du document (CSS) et leur éventuelle interactivité (interface Javascript).

Pas de panique ! Nous pourrons expliquer tout cela de vive voix et en l’illustrant sur écran.

L’atelier propose une découverte de ce chemin de mise en page à échelle réduite.

Lors de cette activité nous dessinerons à plusieurs un ou des posters "Petites annonces" en partant de celles publiés dans notre magazine. La mise en forme sera écrite de manière collective à travers des documents partagés (pad) en ligne.

L’atelier s’adresse à des personnes curieuses de tester des dispositifs et outils de mise en page libres, pour des usages collectifs ou solo. Il ne demande pas de prérequis mais un goût pour l’apprentissage de nouveaux langages et la mise en page aventureuse.

Matériel : ordinateur portable

Pour les personnes les plus aguerries et curieuses de mettre le nez dans notre outil opensource, il se trouve ici http://osp.kitchen/tools/html2print/

Tiffany (cofondatrice en charge de la communication et de la diffusion) et Laurence (coordinatrice de Médor) seront sur place pour répondre à vos questions et vous donner un aperçu des coulisses du projet.

Médor a enquêté sur le séminaire de développement personnel « Les Clés du Succès », leader du marché en Belgique francophone, avec une question en tête : comment certains participants, en quête d’une nouvelle vie, finissent par s’endetter sur plusieurs années, sur les conseils avisés des deux leaders de ce séminaire ?

A l’occasion de cette rencontre, Manon Mottard et Frédéric Moray, auteurs de cette enquête et du podcast « Le piège : dans les coulisses du développement personnel », vous propose une immersion collective dans l’ambiance du séminaire avec l’écoute du premier épisode de la série de podcast qu’ils ont réalisés pour la RTBF.

Un moment d’échange et de discussion suivra pour dévoiler, sur base de leurs nombreux témoignages, recherches et observations, les mécanismes bien rôdés utilisés dans ce séminaire.

Parce qu’un jour ou l’autre, nous pouvons tous et toutes être sensibles à l’appel du développement personnel pour pallier nos faiblesses et vulnérabilités. Cette enquête souhaite attirer l’attention sur les risques et offrir des outils de réflexion pour éviter de tomber dans le piège.

En vue de son déménagement, Médor vide son grenier (qui est en fait une cave) et vous propose des exemplaires à petits prix. Bonnes affaires pour les fêtes !

Et si vous avez des questions, Tiffany (cofondatrice en charge de la communication et de la diffusion), Laurence (coordinatrice de Médor), Quentin Noirfalisse et Philippe Engels (confodateurs, journalistes et pilotes du Médor 37) seront sur place pour y répondre et vous donner un aperçu des coulisses du projet.

• TARIFS VIDE-GRENIER
  Tous les numéros vieux de plus d’un an (du n°1 au n°33, donc) seront au prix de 5€ pièce.
  Les numéros de mars, juin et septembre 2024 à 10€.
  Le n°37, paru ce jeudi 5 décembre, sera en vente à 19€.
  Breloques diverses (badges, affiches, autocollants…) à prix libre.
  Pensez à prendre de la monnaie !

Deux semaines à squatter les tables et chaises de Barricade. Deux semaines de rencontres, d’échanges et de débats. Deux semaines, juste avant de partir en congé.

Mercredi 18 décembre, Médor n°37 aura 2 semaines et on vous propose de fêter sa sortie avec nous, autour de quelques verres et d’une joyeuse playlist.

Les personnes ayant collaboré au numéro sont également conviées. Vous pourrez ainsi faire leur connaissance et entamer quelques discussions informelles. Qui sait, de là naîtra peut-être un projet sujet d’enquête ou une belle amitié ?