Médor en rébus
Sur la tranche de chacune de nos 30 premières couvertures se sont glissés d’étranges petits dessins. Rien ne se faisant au hasard chez Médor, ces petits dessins avaient, eux aussi, un sens.
Les voici rassemblés pour constituer le rébus Médor. Notre souhait le plus cher pour la Belgique. Avec ce numéro quasi-anniversaire, nous terminons ce texte. A vous de jouer maintenant pour en découvrir la mystérieuse signification…
Attention, ce rébus fut composé en partie en cadavre exquis avec des équipes tournantes, sans savoir jusqu’où on pourrait vraiment aller. Qui aurait parié sur la parution de 30 numéros de Médor lorsqu’on a lancé le média en 2015 ?
Ceci explique le résultat un peu surréaliste de cette longue phrase.
A vous de jouer !
[Le concours est à présent terminé. La solution a été dévoilée dans l’édito de notre numéro 31. Maintenant que vous savez où la trouver, prenez la peine d’essayer. C’est un beau défi à relever à plusieurs.]
Ci-dessous, les consignes du concours pour mémoire
Mettez vos proches au défi en faisant chauffer leurs méninges. Si vous trouvez la signification de ce rébus, transmettez-nous votre réponse dans le formulaire ci-dessous. A la clé : la collection intégrale de Médor, envoyée gratuitement chez vous, pour pouvoir admirer ce rébus en chair et en couleurs.
Attention : le règlement est strict. Toute torture pratiquée sur l’un ou l’une des membres de la rédaction de Médor pour obtenir la bonne réponse est formellement interdite. Et parfaitement inutile. Car, comme Médor, ce rébus a été construit collectivement et sur 8 ans, rares sont les membres de la rédaction qui se souviennent encore de son sens le plus exact.
Autre challenge, proposez-nous le texte qui constituera le rébus des 30 prochains numéros. La personne à l’origine de ce texte recevra, elle, un an d’abonnement à Médor pour découvrir les premiers éléments visuels nés de sa prose.